Récits de voyages de JoL'Une |
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L'Une…
Pourquoi "L’Une…" ? C’est ainsi que j’avais signé mon premier poème! * J’avais 12 ans, je me cherchais… Étais-je "L’Une…" ? Étais-je "L’Autre…" ?
J’ai vécu plusieurs « lunes » depuis…et je me cherche encore…Parfois dans l’écriture, parfois dans le mouvement et souvent dans les deux à la fois (ex : récits de voyage…)
Avec le temps, "L’Une…" a cependant pris une autre dimension, car c’est aussi un astre qui me décrit plutôt bien.
La lune est mystérieuse, changeante, nocturne, sensible, universelle, marginale, douce, calme…et forte. Un ensemble de paradoxes, quoi!
De plus, dans un livre que j’ai lu il y a quelques mois (« Un autre corps pour mon âme »), on y parlait de Dieu comme de "L’UN…" , ahah!
Oui, j’ai aussi le sens de l’humour… et je vis la vie comme s’il s’agissait d’une grande pièce de théâtre…
Le visage de L'Une...
(Cliquez sur l'icône pour l'agrandir) Lequel des trois selon vous?
Je suis à gauche sur la photo...complètement trempée... lors du "water festival" (songkram) à Songkhla, Thaïlande.
À droite, Malinee, qui m'a entraînée dans le défilé et dans le party. Quel beau souvenir de mes derniers jours en Asie!
Je souhaite vous faire rêver suffisamment pour que vos rêves se transforment en réalité! Oui c'est possible! C'est ce qui m'est arrivé... et j'aimerais le partager avec vous.
"...Après, je suis grimpée sur le toit du bateau et j’ai observé les étoiles. Quelle sensation magique! Celle d’être à l’ancre dans un endroit de rêve, un rêve qu’on croyait impossible... Ces rochers nous entourent et nous enveloppent, on s’y sent protégé, comme dans un autre monde... Fantastique! Et tout ça pour un prix incroyablement bas! nous permettant d’admirer pendant quelques heures encore ces merveilles de la nature. avant de reprendre l’autobus nous ramenant à Hanoi! Tant mieux! Ce rêve est possible, je le sais maintenant!
(tiré de la chronique 15 : Ha Long Bay, Vietnam)
Souvenirs * C’était au clair de lune Et près de cette dune Deux amoureux s’embrassaient Dans la brise qui soufflait!
Les flots se brisaient sur les rochers Et les oiseaux semblaient chanter Pour ces âmes joyeuses Qui étaient amoureuses.
L’horizon se découvrait, multicolore Pour mieux terminer ce tableau De deux êtres qui dès lors Viendraient souvent au bord de l’eau
Pour se perdre dans des souvenirs Qui ne pourraient jamais mourir… L’Une… 1956 (12 ans)
Je me ferai un plaisir de vous lire
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